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, C’est peut-être encore mon côté ado, le privilège de la jeunesse. J’ai
envie de croire encore en l’être humain. Manu, la fille que
j’interprète, c’est un peu ça. Elle y croit encore.»Les thématiques
sociales et familiales vous parlent-elles?«Bien sûr que ça me parle
énormément, même si ce n’est pas ça qui m’a poussée à faire le film. Je
suis hyper contente qu’Olivier (Tolédano) et Éric (Nakache) aient pensé à
moi, vu qu’ils font un cinéma populaire et pas vulgaire qui s’adresse à
tout le monde. Qu’ils se penchent sur un sujet comme ça me semble hyper
courageux.
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Ils auraient pu choisir la facilité, mais non Ce film me semble
important. Il ne donne pas de réponse à quelle que problématique que ce
soit mais c’est un constat de la France d’aujourd’hui. C’est un film sur
le travail. Je pense que ça va faire réfléchir les gens. Ils vont
sortir avec la banane et l’envie d’en parler.»Acteur, un boulot de
feignant par rapport à la musique?«Ça demande, en effet, un peu moins
d’implication. Avec Olivier et Éric, c’était très cool, plein d’amour et
de bienveillance, tranquille et trop sympa.
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Là, je viens de sortir d’un tournage un peu plus dur qui,
émotionnellement, demande un peu plus d’engagement personnel. Je
démarre, j’apprends les codes et je ne sais pas trop. Alors que le
studio, je connais. Je sais ce que je fais, je sais où je vais. C’est un
peu plus de responsabilités, comme réaliser un film.»Olivier Tolédano
et Éric Nakache?«Ils sont hyper attachés à l’être humain. À la fonction
de l’être humain dans la société, aux inégalités entre êtres humains.
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